L’OPC appelle à la continuité des activités de l'enseignement supérieur en Haïti

L'Office de Protection du Citoyen (OPC) joue un rôle crucial dans la défense des droits des haïtiens, et son récent appel au pouvoir central met en lumière une problématique pressante : la continuité des activités de l'enseignement supérieur dans le pays. Dans une lettre adressée au Premier ministre Garry Conille, l’OPC souligne l'impact désastreux de l'insécurité sur le droit à l'éducation, un droit fondamental qui devrait être accessible à tous.

L’OPC appelle à la continuité des activités de l'enseignement supérieur en Haïti

L'insécurité, alimentée par les attaques de gangs armés, a atteint des niveaux alarmants dans la métropole de Port-au-Prince, rendant l'accès aux institutions éducatives extrêmement difficile. L'Université d'État d'Haïti (UEH), en particulier, est particulièrement touchée. Les étudiants, qui aspirent à poursuivre leur apprentissage, se retrouvent souvent isolés et empêchés d'accéder aux centres de formation. Cette situation n'est pas seulement préoccupante sur le plan éducatif; elle remet également en question l'avenir du pays, alors que l'éducation est une clé essentielle pour le développement socio-économique.

 

L’OPC appelle donc le gouvernement à prendre des mesures concrètes et urgentes pour sécuriser les campus universitaires et protéger les étudiants ainsi que le personnel éducatif. Cela pourrait impliquer un renforcement des dispositifs de sécurité autour des établissements d'enseignement, une meilleure coordination avec les forces de l'ordre, ainsi que la mise en place de stratégies visant à réduire la violence dans les zones urbaines enclavées par ces gangs.

 

Un autre aspect que l’OPC met en avant est le besoin urgent d’un dialogue entre les différents acteurs de la communauté éducative, y compris les administrations universitaires, les étudiants, et les autorités locales. Ce dialogue est impératif pour identifier des solutions adaptées et durables à la crise actuelle qui affecte le secteur de l'enseignement supérieur en Haïti.

 

L’appel de l’OPC à aider les entités de l'UEH à surmonter les défis posés par l'insécurité constitue une alerte non seulement pour le gouvernement mais aussi pour la société dans son ensemble. Garantir le droit à l'éducation est une responsabilité collective qui exige une action concertée. En facilitant la continuité des activités éducatives, Haïti peut espérer construire un avenir plus stable et prometteur pour ses jeunes, qui sont les leaders de demain.

 

Louvencky FRANÇOIS

L'insécurité, alimentée par les attaques de gangs armés, a atteint des niveaux alarmants dans la métropole de Port-au-Prince, rendant l'accès aux institutions éducatives extrêmement difficile. L'Université d'État d'Haïti (UEH), en particulier, est particulièrement touchée. Les étudiants, qui aspirent à poursuivre leur apprentissage, se retrouvent souvent isolés et empêchés d'accéder aux centres de formation. Cette situation n'est pas seulement préoccupante sur le plan éducatif; elle remet également en question l'avenir du pays, alors que l'éducation est une clé essentielle pour le développement socio-économique.

 

L’OPC appelle donc le gouvernement à prendre des mesures concrètes et urgentes pour sécuriser les campus universitaires et protéger les étudiants ainsi que le personnel éducatif. Cela pourrait impliquer un renforcement des dispositifs de sécurité autour des établissements d'enseignement, une meilleure coordination avec les forces de l'ordre, ainsi que la mise en place de stratégies visant à réduire la violence dans les zones urbaines enclavées par ces gangs.

 

Un autre aspect que l’OPC met en avant est le besoin urgent d’un dialogue entre les différents acteurs de la communauté éducative, y compris les administrations universitaires, les étudiants, et les autorités locales. Ce dialogue est impératif pour identifier des solutions adaptées et durables à la crise actuelle qui affecte le secteur de l'enseignement supérieur en Haïti.

 

L’appel de l’OPC à aider les entités de l'UEH à surmonter les défis posés par l'insécurité constitue une alerte non seulement pour le gouvernement mais aussi pour la société dans son ensemble. Garantir le droit à l'éducation est une responsabilité collective qui exige une action concertée. En facilitant la continuité des activités éducatives, Haïti peut espérer construire un avenir plus stable et prometteur pour ses jeunes, qui sont les leaders de demain.

 

Louvencky FRANÇOIS


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