Haïti: entre agonie et coma

La population haïtienne est comme un patient qui souvent est assujetti à des pressions individuelles et sociales importantes. Elle est confrontée chaque jour à des crises existentielles, tel le temps qu'il lui reste à vivre revêt d'un caractère absurde. Le patient se considère comme une personne en fin de vie, entre agonie et coma.

Crédit Photo: BBC
Haïti: entre agonie et coma

Le patient (la population haïtienne) étant en agonie depuis des années, se plante dans un état transitoire qui correspond aux derniers instants de sa vie, une lutte contre la mort (l'insécurité généralisée, le kidnaping, la misère, le chômage,...). Il se trouve comme figé et pétrifié. La souffrance du patient devient chronique, ne trouvant personne pour sa prise en charge, personne pour panser ses blessures et soulager ses douleurs, en dépit des diagnostics médicaux clairs et précis.

Le patient (la population haïtienne) tombe en coma

La gravité de la maladie entraine le patient dans le coma. Il est au stade 2, c'est le stade de la disparition de la capacité d'éveil. L'état du patient se détériore lentement et il confine la mort. Il expérimente une douleur atroce mais il ne peut s'en soustraire car il n'est plus maitre de lui-même. L'angoisse est totale. Son plus grand problème c'est son état amorphique, léthargique, en étant conscient, il ne peut exprimer son désarroi, ses inquiétudes et ses craintes face au désespoir dans lequel il patauge.

Le cas léthargique du patient (la population haïtienne), le coma au stade 3, qui est le coma profond selon les spécialistes, que vit actuellement le patient, est dû à une intoxication médicamenteuse du Neurologue. 

Etant tombé dans ledit coma, l'intervention d'un Neurologue s'avérerait nécessaire et urgente. Mais malheureusement pour le patient, le Neurologue qui lui est imposé ou encore le chirurgien neurologue n'a aucun respect pour le serment d'Hyppocrate. C'est une âme vendue, un charlatan, un écervelé, un incompétent, un méchant, un corrompu.

Le neurologue est assisté d'une bande de pseudo-médecins dont le dada est la poche du patient. Ce sont des sanguinaires, des mercenaires, d'irresponsables et des aliénés mentaux (Le pouvoir absolu du neurologue dont la licence provient des ambassades et des alliés politiques non naturels). Lui et ses alliés, ne prescrivent aux patients (la population 

haïtienne) que des médicaments mortels (assassinats, crimes à répétition, kidnaping, insécurité, cherté de la vie, injustices sociales, ...).

Le neurologue se comble du luxe, de l'ostentation et se contente d'assister à la mort imminente de son patient, sans intervention aucune, car, en réalité, il n'a jamais réalisé un diagnostic de son malade pour savoir quel médicament efficace prescrit.

N'est-il pas temps de changer de médecin pour une expérience médicale générale et de trouver le traitement du patient? Il est indéniable pour les patients de tenir le coup, de braver la mort, pour se dissocier de ce vieux médecin un peu amnésique.

Mwen bouke! Ou bouke! Nou tout bouke!

 

Ruben Isma


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